Quand un être vient à nous quitter, nombreux sont les sentiments qui se mêlent : la peine, la douleur, le manque et l’amour. De ce fait, trouver les bons mots quant à l’épitaphe qu’on souhaiterait graver sur le monument funéraire du défunt peut vite devenir chose difficile.
Généralement, on optera pour une formule qui reste simple et sobre. L’objectif est de retrouver dans l’épitaphe l’expression du cœur. Par exemple, ces simples mots Tu nous manqueras peuvent suffire pour expliquer nos sentiments à ce moment précis de la perte. Certains préféreront exprimer leur douleur et leur désespoir, tandis que d’autres continueront à déclarer leur amour à l’infini.
Des procédures sur la forme:
Certaines contraintes sont imposées sur la mise en forme d’un monument funéraire. Généralement on cite à cet effet trois éléments qui piquent dur les monuments : le nom et les prénoms du défunt, son année de naissance et son année de décès .
Quand on rédige l’épitaphe qui sera gravée sur le monument funéraire, il faut prendre compte un certain code éthique et moral. Il faut faire attention à ne pas choquer dans les propos. Le principe est simple, le texte ne doit de quelle que manière que ce soit causer un trouble de l’ordre public, auquel cas, il se verrait refusé. Le Code général des collectivités territoriales, en son article R 2223-8 dispose qu’Aucune inscription ne peut être placée sur les pierres tumulaires ou monuments funéraires sans avoir été préalablement soumise à l’approbation du maire.